@ anonyme Votre polémique est un peu mal orienté. Il ne faut pas en vouloir aux "CPI-validation": ils n'ont rien demandé, on leur a offert une opportunité, ils auraient été fous à ne pas la saisir. Par ailleurs, j'en connais qui sont des excellents professionnels et qui auraient tout à fait pu réussir l'examen. Ce qui est regrettable est que le tour extérieur ait été imposé à la profession sans concertation, voire dans un esprit de sanction, et qu'il ait été ouvert trop largement à des personnes dont l'expérience professionnelle est - disons - un peu limite.
Nul doute que certains CPI-validation auraient pu réussir l'examen, comme certains réussissent le concours d'entrée à polytechnique. Mais, beaucoup auraient échouer également, c'est le principe du concours. Vous ne m'enleverez pas de la tête que cela dévalorise le titre de CPI. Il aurait effectivement fallu une concertation. Je pense qu'elle aurait conduit à refuser cette voie d'accès à la profession. Je vous l'accorde, cette voie existe, alors bon, il faut l'accepter. Mais nous connaissons tous dans la liste des CPI-validation, des chargés de valorisation, des documentalistes, et de juristes qui, malgré toute leurs qualité, ne font pas un travail quotidien de CPI brevet.
On remarquera que la CNCPI vient d'envoyer un mail à tous les CPI pour communiquer sur les résultats de l'examen et féliciter les heureux admis. Bizaremment ce mail n'a pas été envoyé pour féliciter les admis à la VAE... Un oubli sans doute...
je connais aussi des nouveaux CPI qui ne connaissant pas leur code. Or selon moi, qui aspire à devenir CPI doit connaître son code de la même façon que qqun qui passe l'EQE doit connaître la CBE.
Le problème avec cet examen, c'est que comme souvent avec l'INPI, c'est bouts de ficelle et approximation...
Quand on voit que des examinateurs de l'INPI ont pu passer l'examen alors qu'ils n'ont jamais rédigé quoi que soit ni conseillé un client...
une VAE sanctionnant 8 ans d'expérience d'ingénieur brevet en cabinet ou entreprise est largement aussi justifiée que 3 années sanctionnées par un examen CPI perfectible et laissant souvent place semble-t il à l'humeur du jury
Vous avez raison, dans certains cas. Mais pas toujours. Certains ingénieurs brevets de l'industrie ne rédigent pas, ils se limitent à faire l'interface entre inventeurs et cabinets. Ou ils s'occupent de contrats, gestion de portefeuille, etc. C'est un travail utile, mais sans rapport avec celui de CPI. Donc, dans ces cas, la VEA n'est pas justifiée.
Idem pour les examinateurs à l'INPI: leur expérience ne les prépare pas à devenir CPI.
@Anonime 13 février 2009 17:32
Vous voulez déclencher une guerre civile ou quoi???
je dirais que celà n'a pas grand chose à voir; on ne parle pas de diplôme. Et je ne connais pas la valeur d'un diplôme de centrale. D'ailleurs seule la valeur du diplômé compte.
A force d'utiliser l'acronyme VAE on en oublie la signification: Valorisation des Acquis de l'Expérience.
Le problème de la VAE est effectivement qu'elle est ouverte, de par la volonté du législateur, à des personnes n'ayant PAS l'expérience de CPI. Elle aurait due être limitée aux personnes exerçant réellement sous le contrôle d'un CPI. Il suffisait de recopier la phrase utilisée pour l'examen en remplaçant 3 ans par 8. Elle a donc été donnée à certains sans réelle légitimité. Je viens de passer l'examen, avec succès, et je dois dire que si j'avais eu l'opportunité de passer la VAE, je ne me serais pas gêné. Effectivement, il est normal pour un candidat remplissant les conditions d'utiliser la voie de moindre résistance. On peut regretter la formulation du texte, mais il ne faut pas en vouloir aux heureux candidats ayant pu valider leurs acquis.
Par sous le contrôle d'un CPI, j'entendais d'une personne qualifiée. Il me semble que cette exigence n'a jamais empêché les professionnels de l'industrie de passer l'examen français.
"Il me semble que cette exigence n'a jamais empêché les professionnels de l'industrie de passer l'examen français."
Si, quantité de spécialistes de l'industrie n'ont jamais pu s'inscrire à l'EQF parce que personne dans leur service n'était inscrit sur la liste des personnes qualifiées. C'est d'ailleurs un cercle vicieux : personne sur la liste, donc pas possible de passer l'examen, donc... personne sur la liste...
Certains essaient de faire signer leur papier par un CPI avec qui ils travaillent, mais ça ne marche pas toujours.
Pour une personne travaillant dans l'industrie, quel est l'intérêt d'être qualifiée par VAE ou EQF ? Certes, il y a la possibilité de devenir Conseil (dans une autre vie que celle industrielle). La question subsidiaire est : Est-ce qu'une personne inscrite sur la liste L421-1 peut répondre à des notif de l'INPI ? Base légale (L422-4 §2) ?
"Pour une personne travaillant dans l'industrie, quel est l'intérêt d'être qualifiée par VAE ou EQF ?"
Aucun si elle est sure de faire toute sa carrière dans l'industrie. Mais qui peut en être réellement sûr ? Vu la fusion qui se prépare, mieux vaut être du bon côté de la barrière avant qu'elle se referme !!
"Pour une personne travaillant dans l'industrie, quel est l'intérêt d'être qualifiée par VAE ou EQF ?"
15% d'augmentation et une plus grande crédibilité professionnelle. Du moins c'était comme ça dans la boite dans laquelle j'étais dans l'industrie. Maintenant je suis en cabinet...
"Si, quantité de spécialistes de l'industrie n'ont jamais pu s'inscrire à l'EQF parce que personne dans leur service n'était inscrit sur la liste des personnes qualifiées. C'est d'ailleurs un cercle vicieux : personne sur la liste, donc pas possible de passer l'examen, donc... personne sur la liste..."
Si on monte un "vrai" service de PI, on commence par embaucher des personnes qualifiées. Si on se contente de faire le passe plat aux cabinets, il n'y a aucune raison que l'on soit autorisé à passer l'examen de CPI.
Tout ça paraît logique. On est mis en garde au CEIPI d'ailleurs sur le risque qu'il y a à rejoindre une boite qui n'emploie personne de qualifié.
"Si on monte un "vrai" service de PI, on commence par embaucher des personnes qualifiées."
Dans l'industrie on appelle ça des mandataires...
"Si on se contente de faire le passe plat aux cabinets, il n'y a aucune raison que l'on soit autorisé à passer l'examen de CPI." C'est marrant, a l'époque ou j'étais dans l'industrie, je connaissait un bon nombre de personnes travaillant dans les cabinets qui faisait "passe plats". C.a.d, j'envoie la lettre au client, j'attends ses éléments de réponse, je copie-colle et j'envoie à l'office. Je n'ai jamais rien entendu lorsque ces gens s'inscrivait à l'EQF ou à l'EQE
"C'est marrant, a l'époque ou j'étais dans l'industrie, je connaissait un bon nombre de personnes travaillant dans les cabinets qui faisait "passe plats". C.a.d, j'envoie la lettre au client, j'attends ses éléments de réponse, je copie-colle et j'envoie à l'office."
C'est rigolo ça comme stratégie PI... A part doubler le budget, je ne vois pas l'intérêt de passer par un cabinet si le travail est fait en interne. Ca ne doit quand même pas être courant.;-)
Pour rapporter encore les trouvailles de mon collègue : Sur les 112 admis, 67 (soit 59 %) avaient l'EQE. 57 (!) d'entre eux venant des cabinets et 10 seulement de l'industrie. L'histoire ne dit pas si le taux de rejet était plus important pour les industriels (ce que je pense).
Oui, mais ce n'est qu'une approximation. On m'a dit que le taux de réussite à l'écrit était "proche de" 60 % et qu'il y avait 151 candidats à l'oral, pour 112 élus. Sur la base de ces chiffres (à vérifier !) j'obtiens un taux de réussite global de 44 %. L'essentiel de la sélection s'est fait à l'écrit (60 % de réussite), à l'oral on a eu un taux de réussite supérieur (74 %). Tout cela est un peu meilleur que pour la session 2005/2006, si mes souvenirs sont bons. Pour plus de précision (et de fiabilité), il faudra sans doute attendre les Annales.
D'après mes informations, le taux de réussite à l'écrit était de 46%, on est loin de 60, et pile poil (à 1%) du taux de 2005. Ce qui nous ferait 328 candidats au départ, et 34% de réussite au total si votre chiffre de 151 candidats à l'oral est juste. Si des gens bien informés pouvaient nous confirmer, infirmer ces informations ???
74% de réussite à l'oral signifie quand même 26% d'échec, ce qui est beaucoup étant donné que l'oral est présenté comme à peine plus qu'une formalité...
C'est vrai que certains sujets d'oral étaient assez pointus.
Cela dit, avec un taux de réussite de 44%, 2009 me paraît un assez bon millésime.
Après tant de retards, pour une fois l'INPI est à l'avance!
RépondreSupprimerFélicitation aux reçus, bon courage aux recalés.
Bravo aux CPI-examen qui ont un peu plus lutté que les CPI-validation !
RépondreSupprimerPour le plaisir de polémiquer :-)
@ anonyme
RépondreSupprimerVotre polémique est un peu mal orienté.
Il ne faut pas en vouloir aux "CPI-validation": ils n'ont rien demandé, on leur a offert une opportunité, ils auraient été fous à ne pas la saisir.
Par ailleurs, j'en connais qui sont des excellents professionnels et qui auraient tout à fait pu réussir l'examen.
Ce qui est regrettable est que le tour extérieur ait été imposé à la profession sans concertation, voire dans un esprit de sanction, et qu'il ait été ouvert trop largement à des personnes dont l'expérience professionnelle est - disons - un peu limite.
Nul doute que certains CPI-validation auraient pu réussir l'examen, comme certains réussissent le concours d'entrée à polytechnique. Mais, beaucoup auraient échouer également, c'est le principe du concours. Vous ne m'enleverez pas de la tête que cela dévalorise le titre de CPI. Il aurait effectivement fallu une concertation. Je pense qu'elle aurait conduit à refuser cette voie d'accès à la profession. Je vous l'accorde, cette voie existe, alors bon, il faut l'accepter. Mais nous connaissons tous dans la liste des CPI-validation, des chargés de valorisation, des documentalistes, et de juristes qui, malgré toute leurs qualité, ne font pas un travail quotidien de CPI brevet.
RépondreSupprimerOn remarquera que la CNCPI vient d'envoyer un mail à tous les CPI pour communiquer sur les résultats de l'examen et féliciter les heureux admis. Bizaremment ce mail n'a pas été envoyé pour féliciter les admis à la VAE...
RépondreSupprimerUn oubli sans doute...
je suis d'accord avec anonyme
RépondreSupprimerje connais aussi des nouveaux CPI qui ne connaissant pas leur code. Or selon moi, qui aspire à devenir CPI doit connaître son code de la même façon que qqun qui passe l'EQE doit connaître la CBE.
Le problème avec cet examen, c'est que comme souvent avec l'INPI, c'est bouts de ficelle et approximation...
Quand on voit que des examinateurs de l'INPI ont pu passer l'examen alors qu'ils n'ont jamais rédigé quoi que soit ni conseillé un client...
@tous les anonymes (panne d'imagination???) ci-dessus.
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec vous sur le fait que le "tour extérieur" dévalorise le titre de CPI.
J'ajoute même qu'un peu de jalousie est légitime: ah, tout ce que j'aurais pu faire à la place de réviser...
Je dis seulement qu'il ne faut pas en tenir rigueur à ceux qui en ont profité: c'était leur droit, ils on eu raison de le faire.
une VAE sanctionnant 8 ans d'expérience d'ingénieur brevet en cabinet ou entreprise est largement aussi justifiée que 3 années sanctionnées par un examen CPI perfectible et laissant souvent place semble-t il à l'humeur du jury
RépondreSupprimerQue diriez vous si on donnait le diplome de centrale à tous les titulaires d'une maitrise de physique ayant 8 ans d'experience...?
RépondreSupprimer@ Anonyme 13 février 2009 17:22
RépondreSupprimerVous avez raison, dans certains cas. Mais pas toujours.
Certains ingénieurs brevets de l'industrie ne rédigent pas, ils se limitent à faire l'interface entre inventeurs et cabinets. Ou ils s'occupent de contrats, gestion de portefeuille, etc.
C'est un travail utile, mais sans rapport avec celui de CPI. Donc, dans ces cas, la VEA n'est pas justifiée.
Idem pour les examinateurs à l'INPI: leur expérience ne les prépare pas à devenir CPI.
@Anonime 13 février 2009 17:32
Vous voulez déclencher une guerre civile ou quoi???
je dirais que celà n'a pas grand chose à voir; on ne parle pas de diplôme. Et je ne connais pas la valeur d'un diplôme de centrale. D'ailleurs seule la valeur du diplômé compte.
RépondreSupprimerA force d'utiliser l'acronyme VAE on en oublie la signification: Valorisation des Acquis de l'Expérience.
Le problème de la VAE est effectivement qu'elle est ouverte, de par la volonté du législateur, à des personnes n'ayant PAS l'expérience de CPI. Elle aurait due être limitée aux personnes exerçant réellement sous le contrôle d'un CPI. Il suffisait de recopier la phrase utilisée pour l'examen en remplaçant 3 ans par 8. Elle a donc été donnée à certains sans réelle légitimité.
RépondreSupprimerJe viens de passer l'examen, avec succès, et je dois dire que si j'avais eu l'opportunité de passer la VAE, je ne me serais pas gêné. Effectivement, il est normal pour un candidat remplissant les conditions d'utiliser la voie de moindre résistance. On peut regretter la formulation du texte, mais il ne faut pas en vouloir aux heureux candidats ayant pu valider leurs acquis.
"Elle aurait due être limitée aux personnes exerçant réellement sous le contrôle d'un CPI"
RépondreSupprimerAvec une telle exigence, vous fermez la porte à tous les spécialistes de l'industrie !
Par sous le contrôle d'un CPI, j'entendais d'une personne qualifiée. Il me semble que cette exigence n'a jamais empêché les professionnels de l'industrie de passer l'examen français.
RépondreSupprimer"Il me semble que cette exigence n'a jamais empêché les professionnels de l'industrie de passer l'examen français."
RépondreSupprimerSi, quantité de spécialistes de l'industrie n'ont jamais pu s'inscrire à l'EQF parce que personne dans leur service n'était inscrit sur la liste des personnes qualifiées. C'est d'ailleurs un cercle vicieux : personne sur la liste, donc pas possible de passer l'examen, donc... personne sur la liste...
Certains essaient de faire signer leur papier par un CPI avec qui ils travaillent, mais ça ne marche pas toujours.
Pour une personne travaillant dans l'industrie, quel est l'intérêt d'être qualifiée par VAE ou EQF ?
RépondreSupprimerCertes, il y a la possibilité de devenir Conseil (dans une autre vie que celle industrielle).
La question subsidiaire est : Est-ce qu'une personne inscrite sur la liste L421-1 peut répondre à des notif de l'INPI ? Base légale (L422-4 §2) ?
"Pour une personne travaillant dans l'industrie, quel est l'intérêt d'être qualifiée par VAE ou EQF ?"
RépondreSupprimerAucun si elle est sure de faire toute sa carrière dans l'industrie. Mais qui peut en être réellement sûr ?
Vu la fusion qui se prépare, mieux vaut être du bon côté de la barrière avant qu'elle se referme !!
"Pour une personne travaillant dans l'industrie, quel est l'intérêt d'être qualifiée par VAE ou EQF ?"
RépondreSupprimer15% d'augmentation et une plus grande crédibilité professionnelle. Du moins c'était comme ça dans la boite dans laquelle j'étais dans l'industrie. Maintenant je suis en cabinet...
"Si, quantité de spécialistes de l'industrie n'ont jamais pu s'inscrire à l'EQF parce que personne dans leur service n'était inscrit sur la liste des personnes qualifiées. C'est d'ailleurs un cercle vicieux : personne sur la liste, donc pas possible de passer l'examen, donc... personne sur la liste..."
RépondreSupprimerSi on monte un "vrai" service de PI, on commence par embaucher des personnes qualifiées. Si on se contente de faire le passe plat aux cabinets, il n'y a aucune raison que l'on soit autorisé à passer l'examen de CPI.
Tout ça paraît logique. On est mis en garde au CEIPI d'ailleurs sur le risque qu'il y a à rejoindre une boite qui n'emploie personne de qualifié.
"Si on monte un "vrai" service de PI, on commence par embaucher des personnes qualifiées."
RépondreSupprimerDans l'industrie on appelle ça des mandataires...
"Si on se contente de faire le passe plat aux cabinets, il n'y a aucune raison que l'on soit autorisé à passer l'examen de CPI."
C'est marrant, a l'époque ou j'étais dans l'industrie, je connaissait un bon nombre de personnes travaillant dans les cabinets qui faisait "passe plats". C.a.d, j'envoie la lettre au client, j'attends ses éléments de réponse, je copie-colle et j'envoie à l'office. Je n'ai jamais rien entendu lorsque ces gens s'inscrivait à l'EQF ou à l'EQE
"C'est marrant, a l'époque ou j'étais dans l'industrie, je connaissait un bon nombre de personnes travaillant dans les cabinets qui faisait "passe plats". C.a.d, j'envoie la lettre au client, j'attends ses éléments de réponse, je copie-colle et j'envoie à l'office."
RépondreSupprimerC'est rigolo ça comme stratégie PI... A part doubler le budget, je ne vois pas l'intérêt de passer par un cabinet si le travail est fait en interne. Ca ne doit quand même pas être courant.;-)
Pour rapporter encore les trouvailles de mon collègue : Sur les 112 admis, 67 (soit 59 %) avaient l'EQE. 57 (!) d'entre eux venant des cabinets et 10 seulement de l'industrie. L'histoire ne dit pas si le taux de rejet était plus important pour les industriels (ce que je pense).
RépondreSupprimerpourtant, le personnage central de l'épreuve 2 était un industriel je crois ;-)
RépondreSupprimer@ Armand Grinstajn,
RépondreSupprimerAuriez vous également en votre possession le taux de réussite à l'examen? (écrit et oral).
D'avance merci
Oui, mais ce n'est qu'une approximation. On m'a dit que le taux de réussite à l'écrit était "proche de" 60 % et qu'il y avait 151 candidats à l'oral, pour 112 élus. Sur la base de ces chiffres (à vérifier !) j'obtiens un taux de réussite global de 44 %. L'essentiel de la sélection s'est fait à l'écrit (60 % de réussite), à l'oral on a eu un taux de réussite supérieur (74 %). Tout cela est un peu meilleur que pour la session 2005/2006, si mes souvenirs sont bons. Pour plus de précision (et de fiabilité), il faudra sans doute attendre les Annales.
RépondreSupprimerD'après mes informations, le taux de réussite à l'écrit était de 46%, on est loin de 60, et pile poil (à 1%) du taux de 2005. Ce qui nous ferait 328 candidats au départ, et 34% de réussite au total si votre chiffre de 151 candidats à l'oral est juste.
RépondreSupprimerSi des gens bien informés pouvaient nous confirmer, infirmer ces informations ???
74% de réussite à l'oral signifie quand même 26% d'échec, ce qui est beaucoup étant donné que l'oral est présenté comme à peine plus qu'une formalité...
RépondreSupprimerC'est vrai que certains sujets d'oral étaient assez pointus.
Cela dit, avec un taux de réussite de 44%, 2009 me paraît un assez bon millésime.
Quelqu'un sait il ce qu'il y a de prévu par l'INPI niveau examens (écrits) pour 2009/2010?
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