On peut noter cette phrase suivante :
Par ailleurs, avocats et conseils en propriété Industrielle (CPI) doivent reprendre la réflexion du fait de l'abandon du projet de fusion entre les deux professions.
Sur le même sujet, Jean-François Copé a publié hier un communiqué de presse, dont voici un extrait :
« La Commission Darrois a plutôt privilégié la piste de l'interprofessionnalité. Cette option me parait la plus sage. »
« Dès lors que l'option du rapprochement et non celle de la fusion est retenue, je m'étonne que certains conseils en propriété industrielle se soient émus de ma réserve sur une éventuelle fusion de leur profession avec celle d'avocat, arguant que cette circonspection était liée au fait que je sois avocat. »
Parfait.
RépondreSupprimerSi les avocats renoncent à leur dogme de l'indépendance, un grand pas sera franchi pour tout le monde.
Du côté des CPI, il faut continuer à se montrer ambitieux et entreprenants, comme l'a été le bureau ces dernières années.
"A. Réaliser la fusion des avocats, des avoués près les cours d’appel et
RépondreSupprimerdes conseils en propriété industrielle"
tel est le titre du chapitre (p 29) du rapport Darrois consacre aux CPI cher maitre Coppe
et le rapport poursuit en rappelant la forte opposition des avocats a l'interprofessionalite!!
amusant non?
Quand les avocats sont en tort, ils reculent, position par position, avec Copé en tête.
RépondreSupprimerDu coup pour la fusion, le point critique est proche.
@Rimbaud
RépondreSupprimerQuand on recule, celui qui était en tête se retrouve en queue.
Donc on ne sait plus où est Copé.
Bien vu, Mandataire en colère.
RépondreSupprimerLes avocats sont vraiment retors. Pas comme les mandataires.
si les CPI avancent alors que les avocats reculent comment voulez-vous que ça se passe bien ?
RépondreSupprimerOui, c'est un peu ce que je disais dans mon commentaire du 30.1.
RépondreSupprimerPour résumer: En tort, les avocats reculent.
Je vois que notre ami Rimbaud pratique toujours l'art du contrepêt.
RépondreSupprimerPour revenir à la fusion, tous ces calculs politiques me dégoutent un peu.
Nous les CPI, et contrairement aux avocats, on est jamais très fort pour les calculs.
Si les CPI avancent alors que les avocats reculent, les deux finiront soit par se rencontrer, soit par s'éloigner définitivement.
RépondreSupprimerLe dénouement est proche.
Bravo Vers l'aine ! Tout est dit (alea ejacta est).
RépondreSupprimerOui, je suis un contrapétiste relaps. Désolé.
Rimbaud, vous me faites bien rire. Mais attention, la fréquentation de Vers l'aine peut vous valoir Une saison en enfer.
RépondreSupprimerLes positions des avocats et des CPI divergent.
RépondreSupprimerC'est juste, Oliver. Merci de m'avertir.
RépondreSupprimerEt comme on dit:
un homme inverti en vaut deux.