L'OEB a publié les résultats de l'EQE préliminaire.
Sur 643 candidats (contre 390 l'an dernier), seuls deux candidats ont eu moins de 50 points (contre 4 l'an dernier). Le taux de réussite est donc de 99,69%.
La note médiane est de 82 points.
19% des candidats ont obtenu une note de 90 ou supérieure.
Distribution des résultats |
Félicitations aux heureux titulaires du PréEQE. Vu le taux de réussite, la question de sa nécessité se pose toujours, à part pour payer 400€ à l'Office...
RépondreSupprimerA Quand un pré-préEQE?
d'où deux questions : à quoi sert ce préexamen ? Est-ce qu'il ne contribue pas à dévaloriser la profession ?
RépondreSupprimerOu post-EQE...
RépondreSupprimeril est trop tôt pour déclarer cet examen inutile. Il ne l'est pas si le taux de réussite à A, B, C et D augmente.
RépondreSupprimerS'il s'avère qu'il est effectivement trop facile, rien de plus simple que de le rendre plus difficile dans les années à venir. Peut--être est-ce ausi la difficulté de A, B, C et D qu'il faut remettre en cause...
Est ce que la finalité du pre EQE n'est pas simplement de faire ouvrir le CBE au futurs sitters de l'EQE un peu plus tôt?
RépondreSupprimerUne petite révision un an et 2-3 mois avant l'EQE doit être bénéfique... Et les candidats seront peut être enclins à démarrer les vraies révisions EQE un peu plus tôt.
Et si le pre EQE dévalorise la profession, cela serait étonnant : un mandataire doit passer l'EQE... Wait and see
Un "examen" (préliminaire ou non) doit avoir un minimum de selectivité.
RépondreSupprimerUn taux d'échec de 0,31 % est insignigiant.
Si on faisait circuler une feuille d'émargement en demandant aux candidats de signer en face de leur nom et dans la case "signature" le taux d'échec serait supérieur.
Je crois que la raison de cet examen est de faire baisser les coûts, par le biais d’un raccourcissement des autres épreuves (ce qui veut dire qu’on a besoin de moins de correcteurs notamment). On a vu récemment, et ce n’est que logique, que l’OEB s’est empressé de vire des examinateurs de l’Office, de manière un peu cavalière. Si cette hypothèse est juste, on peut faire une prédiction : on finira à terme par abandonner le pré-examen (personne ne s’en plaindra, vu que tout le monde dit qu’il « ne sert à rien ») tout en n’augmentant pas la durée des autres épreuves. In fine, ça coutera moins cher, l’examen sera un peu moins sélectif, et ça passera comme une lettre à la poste. Bingo.
RépondreSupprimerPeut-être, mais il n'empêche qu'on peut baisser la durée d'une épreuve sans pour autant en réduire la sélectivité. Faut juste un peu de jugeote.
RépondreSupprimerL'OEB a viré des examinateurs ? Bizarre car ils n'arrêtent pas dire qu'ils veulent recruter tout un tas d'ingénieurs.
Mais il y a des gens qui veulent moins de sélectivité. Celle-ci a un coût pour l’Office et pour les cabinets.
RépondreSupprimerDes examinateurs se sont fait virer, non pas de l’Office, mais des Commissions d’examen. Il y a eu un article sur IPKat à ce sujet.