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vendredi 10 mai 2013

L'invention de la semaine


Cette théière vous fera gagner un temps précieux.

GB360253


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4 comments:

Roufousse T. Fairfly a dit…

Clientèle cible: exacteent la même qui achète les cercueils à deux places...

Mais les machines à espresso n'ont-elles pas déjà des becs verseurs doubles, pour remplir deux tasses simultanément?

Est-ce que l'homme du métier en cafetières boit aussi du thé?

Anonyme a dit…

Lettre ouverte au ceipi et aux anciens du ceipi

C'est avec grande surprise et déception que j'apprends que le copinage est toujours d'actualité au ceipi. Il semblerait que le ceipi à deux vitesses soit une notion qui ait la vie dure.

Du temps de l'ancien directeur, nous avons vu passer des profils très atypiques et notamment dans la formation accélérée marques, dessins et modèles, où certains étudiants n'avaient aucune formation juridique.
Le diplôme requis pour être admis à la formation du ceipi est le même que celui ouvrant les portes à la profession de conseil (Article R421-1 CPI). Cette condition a malheureusement trop souvent été ignorée pour permettre de placer certains candidats, et leur faire intégrer malgré tout le ceipi. Pourquoi établir une sélection pour les vrais ingénieurs ou juristes, en passant en revue leurs notes et cursus initial (« nous ne prenons que les meilleurs juristes ou ingénieurs au ceipi »), alors que d'autres, dépourvus de tout cursus juridique ou scientifique, passent entre les mailles du filet et intègrent sans problème le ceipi (en évitant d'ailleurs la case entretien de sélection) ? Face à de tels recrutements, que doivent penser les étudiants qui ont suivi 4 ou 5 années, parfois plus, de droit ou de sciences avant d'intégrer le ceipi : que leur formation de base n'est qu'accessoire ? Que sans cursus juridique ou scientifique, on peut tout à fait se proclamer ingénieur ou juriste ?

Quelle image cela donne-t-il a la profession?
Quelles perpectives cela donne t-il à ces recrues, ni ingénieurs, ni juristes, premières victimes de ce système laxiste? Car il ne faut pas se voiler la face, ces élèves sans cursus initial adéquat, lorsqu'ils intègrent le cycle long, se retrouvent déçus en fin de formation car ils restent sur le carreau. Et s'ils ont intégré le cycle accéléré grâce à leur employeur, ils ne peuvent pas espérer d'autres perpectives professionnelles : aucune structure "concurrente" ne les prendra car ils n'ont pas suivi un cursus de base scientifique ou juridique. Vous le savez bien ! Une structure sérieuse ne recrutera pas un soi-disant « juriste marques » qui ne détient aucun diplôme de droit, ou un soi-disant « ingénieur brevet » qui n'a aucun passé scientifique, et ce, dans un souci de performance, compétence et de respect des clients.

Que dire de ces personnes qui passent entre les gouttes sans un profil adéquat et qui deviennent finalement Conseil ? Il s'agit alors d'un titre illégitime car contraire aux dispositions du code de la PI. Le client peut s'estimer lésé le jour ou une erreur est commise. Confier un dossier juridique ou scientifique à une personne qui se dit juriste ou ingénieur, mais qui n'a jamais suivi d'études de droit ou scientifiques, est très problématique et une imposture pour le client. Ces profils nuisent à l'image de la profession : manque de rigueur et de crédibilité

Anonyme a dit…

Suite et fin. Merci de publier

Conseils à ceux qui envisagent de suivre les cours du ceipi : ne vous inscrivez pas sans avoir fait des études de droit ou scientifiques. Si vous n'êtes pas diplômés dans ces domaines, vous risquez d'être très déçus une fois le ceipi obtenu car ne vous leurrez pas, la formation initiale compte avant tout aux yeux des employeurs !
Si vous êtes déjà salarié, vous ne pourrez pas changer d'employeur car le ceipi n'est pas un élément suffisant pour vous proclamer juriste ou ingénieur.
Dans les deux cas, quel que soit le travail que vous pourrez fournir durant le ceipi, vous ne serez ni juriste, ni ingénieur, car vous n'en avez tout simplement pas la formation.

Espérons que les recruteurs du ceipi feront part d'une plus grande vigilance dans le futur, ne serait-ce que pour cesser de faire miroiter un avenir sympathique à des personnes qui n'ont pas la formation de base pour intégrer les professions en question. Mais également pour éviter de décrédibiliser les professions de juriste marques et ingénieur brevet, qui voient arriver en leur sein des individus dénués de diplômes de droit ou scientifiques. Pour un établissement qui prétend former des ingénieurs ou juristes de haut niveau en propriété intellectuelle, c'est un comble.

Bien à vous

Anonyme a dit…

On s'en fout, non?

 
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